Sans concertation préalable avec la profession agricole, l’Etat a proposé fin juillet à la commission européenne une nouvelle extension des zones vulnérables aux pollutions azotées diffuses d’origine agricole : 3888 communes supplémentaires en France se trouvent ainsi classées, et ce sans aucun fondement scientifique. Cela concerne 63000 nouvelles exploitations agricoles et plus de 3,4 millions d’hectares !
Trop, c’est trop ! Ce projet est inexplicable et inacceptable !